Elles ne tournent pas toutes autour de l’outil numérique et pourtant presque toutes ont des besoins en informatique. Les start-ups intègrent à leurs équipes de jeunes diplômés en informatique et en web et souvent, ce sont des postes très enrichissants !

L’esprit des start-ups pour des missions diverses

Dans certaines petites entreprises en développement que sont les start-ups, tout le projet est basé sur un produit informatique : un site, une plateforme, une application, un service en ligne, etc. Si les créateurs n’ont pas les compétences nécessaires ou s’ils ressentent le besoin d’étoffer leur équipe informatique, ils vont alors se tourner vers des diplômés qualifiés. Il peut s’agir de missions ponctuelles comme le développement d’une partie du site, d’une application, d’un back end,… ou d’un poste où vous aurez différentes missions tout au long de l’année.

Souvent, les porteurs de projet de start-up savent ce qu’ils veulent. Les experts en informatique vont pouvoir prendre part à la construction de cette idée, tout en apportant ses remarques. Si la start-up, comme c’est le cas dans la plupart, offre un côté innovant, c’est un défi de plus à relever pour les experts en informatique qui vont devoir mettre en place un outil totalement nouveau !

Des jeunes qualifiés et prêts pour le travail

Vu le nombre de formations informatique en France (plus de 1080 – source formation-en-informatique.fr), il n’est pas étonnant que ce secteur soit en vogue, tant chez les jeunes que chez les recruteurs. Une étude du réseau social professionnel Linkedin a récemment montré que les développeurs web sont les experts les plus recherchés par les recruteurs. Les formations des écoles d’informatique proposent de plus en plus de spécialisations : architecture de réseau, applications, e-commerce, développement back end, etc.

Les profils des diplômés sont donc très variés et vont parfaitement coller à des postes précis, une fois qu’ils se lanceront sur le marché du travail. Les spécialistes de l’informatique, développeurs, programmateurs… peuvent travailler en free-lance ou être embauchés dans une entreprise, c’est le cas notamment pour des missions de maintenance et d’améliorations du produit au quotidien.

En 2015, d’après les chiffres du Syntec Numérique, le secteur de l’informatique a créé 14 000 emplois nets. Et les prévisions sont tout aussi bonnes ! Toutefois, cette étude de novembre 2016, montrer aussi une inadéquation entre l’offre et la demande de compétences. Pour améliorer ce fossé, le Syntec Numérique mise sur la formation, les nouveaux métiers et l’Europe.